Pour certaines personnes, l’épidémie mondiale que nous connaissons montre la limite des espaces publics, des lieux de cohabitation et des endroits de partage. J’entends alors certains de mes proches me dire que mon envie de faire se rencontrer les gens ne sera dorénavant plus possible. Cependant, je considère cette période inédite comme un nouveau défi à relever. En effet, les lieux de rencontre sont toujours apparus dans mes démarches architecturales. Au vu de cette actualité, je suis d’autant plus déterminée à mettre l’humain au cœur de mon travail pour que le vivre ensemble ne soit pas seulement « vivre les uns à côté des autres » mais « vivre les uns avec les autres ».